JORDAN BARDELLA PULVÉRISE UN ÉTRANGER SUR LES AIDES SOCIALES
Dans une intervention explosive, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a secoué le plateau de télévision en dénonçant ce qu’il appelle la “préférence étrangère” en matière d’aides sociales. S’appuyant sur des chiffres alarmants, il a affirmé que la solidarité nationale doit être réservée aux citoyens français, provoquant une onde de choc dans le débat public.
Bardella a insisté sur le fait que les étrangers en France bénéficient déjà de nombreux avantages, notamment le droit de travailler et d’accéder à la sécurité sociale. “Il est absurde de se plaindre de ne pas toucher toutes les aides sociales alors que le simple fait d’être autorisé à travailler ici est un immense privilège”, a-t-il déclaré. En 2023, plus de 3,5 millions de personnes ont demandé un visa pour la France, mais moins de 10 % ont été acceptées, soulignant la compétitivité et la sélectivité du système.
Le président du RN a également mis en lumière la crise économique actuelle, citant des chiffres de la Cour des comptes qui révèlent un déficit public alarmant de 175 milliards d’euros. “Nous ne pouvons pas prendre en charge l’intégralité des gens qui viennent dans notre pays”, a-t-il martelé, appelant à une priorité nationale pour l’accès aux aides sociales et aux emplois.
Les sondages montrent que cette position trouve un écho favorable auprès de l’électorat, avec 71 % des Français soutenant l’idée d’une préférence nationale. Bardella a promis que si son parti accédait au pouvoir, les allocations familiales seraient réservées aux familles françaises, et le revenu de solidarité active serait conditionné à cinq ans de travail sur le sol français. “La solidarité nationale doit redevenir nationale”, a-t-il affirmé avec conviction.

Alors que le débat sur l’immigration et les aides sociales s’intensifie, Bardella a prévenu que la France ne peut pas devenir un “guichet social” pour le monde entier. “Gouverner, c’est choisir”, a-t-il conclu, appelant à des choix budgétaires difficiles pour redresser la situation économique du pays.
Cette déclaration a suscité des réactions vives, tant en faveur qu’en opposition. Les partisans de Bardella voient en lui un défenseur des intérêts français, tandis que ses détracteurs dénoncent une rhétorique qui attise la division entre citoyens et étrangers. La France se trouve à un carrefour, et les choix qui seront faits dans les mois à venir pourraient redéfinir le paysage social et économique du pays.
